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Ce film se réclame de Lovecraft. En fait il est vaguement inspiré de quelques histoires de Lovecraft et surtout il utilise quelques noms de lieu et le Necronomicon, sans même le nommer. L’histoire ressemble de loin à L’affaire Charles Dexter Ward...
Le générique avec les poupées est superbe.
Le reste du film n’est qu’une introduction à la suite que nous attendons avec impatience...
Un type envoyé pour expertise du manoir des Valdemar ne revient jamais. En fait, l’agent immobilier se demande s’il y est vraiment allé.
Ils envoient Luisa.
Le manoir n’est pas accueillant. Mais le cinéaste ne parvient pas vraiment à instiller l’inquiétude dans l’esprit du spectateur.
Luisa disparaît aussi. Le spectateur assiste à son « enlèvement »...
Quelqu’un est recruté pour la retrouver : Nicolas accompagné de Nora, la présidente de la fondation Valdemar qui lui raconte le passé du manoir. Ce château est surnommé : la maison qu’on évite.
Le couple de l’agence immobilière y va aussi.
Valdemar était photographe et occultiste. Enfin, c’était surtout un illusionniste, il simulait la visite des défunts. Il tenait un orphelinat au sein du château.
Jusqu’à ce qu’il rencontre le « magicien » Crowley...
Enfin, un mélange d’un tas d’histoires d’autres films du courant espagnol de l’horreur aromatisé d’une ambiance vaguement lovecraftienne.
Vivement la deuxième partie !
Alain Pelosato
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