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Une citation du Talmud, en début de film, nous apprend que Jérusalem est une des trois portes de l’enfer.
Ça commence par un film amateur qui montre une possession post mortem… Faut aimer les mauvais films, enfin, désolé, je veux dire les films pas professionnels, même s’ils sont réalisés par des professionnels pour faire croire qu’ils ne le sont pas…
Ensuite, on continue sur le mode “amateur” avec des lunettes connectées qui filment tout et permettent de surfer sur le web, échanger des messages, etc.
Ces lunettes sont portées par une des deux jeunes filles qui font un voyage en Israël. C’est un peu l’orgie : l’une baise avec un jeune homme rencontré dans l’avion (c’est celle qui porte les lunettes/caméra) et l’autre avec un jeune Arabe qui gère l’auberge de jeunesse où elles sont logées à Jérusalem.
Comme vous l’avez remarqué en lisant ce que j’ai écrit jusqu’ici, ce film m’a agacé. Mais en fait, il n’est pas si mal que cela. Il est juste dérangeant, avec facilité, c’est sûr, mais il reste gravé dans la mémoire. En fait il est très bon, faut sortir de ses schémas traditionnels de la Grande Forme du cinéma.
L’action, la vraie, la terreur, commencent après 48 minutes de film. Les portes de l’enfer se sont ouvertes et les morts reviennent en zombies (le “Z” de JéruZalem) et ils ont des ailes pour voler. Avec toute la tradition du zombie contagieux, etc.
Pauvre JéruZalem ! On ne peut s’empêcher de penser au film World War Z (Marc Foster 2013) qui comporte une scène terrifiante du siège de Jérusalem par les zombies.
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