Un roman dont le titre est "Les Imparfaits" peut-il être parfait ? Sans doute pas... Mais, justement, le "message" de l’auteure est sans doute celui-ci : il ne faut pas être parfait, et toute société qui veut rendre les gens parfaits est imparfaite, plus que cela même.
Un roman écrit à la première personne, enfin, à moitié, un peu anarchiste, mais d’un anarchisme frais et revigorant. Excellent.
Alain Pelosato