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Sommaire - Interviews -  Guardians of the galaxy 3


"Guardians of the galaxy 3" de Marc Sessego


James Gunn - JG
Chris Pratt - CP
Zoe Saldana - ZS
Dave Bautista - DB

SFMAG : Comment était ce de revenir sur la franchise ?
JG : Pour moi au cœur de cette histoire, il y avait l’histoire de Rocket, d’où il vient, et qui il est. C’était très important pour moi de raconter toute son histoire.
CP : C’était très spécial de se réunir pour ce 3ème volume. C’est rare d’avoir un rapport comme nous l’avons, et même s’il nous est arrivé bien des choses dans les tranchées, nous sommes toujours une famille. Ce qui rend les choses différentes est que cette fois-ci nous arrivons à la fin, et je pense que chacun le gère à sa façon. Pour moi, c’est le fait d’être ultra présent et de vivre le moment présent. Ça a été génial.
ZS : C’est amer. C’est doux dans le sens que ça a un côté familier, et vous allez voir tout le monde avec qui vous avez travaillé, mais c’est la dernière fois.
DB : Je n’ai pas l’impression que le temps a passé. C’est juste tellement agréable, c’est comme une famille à ce point, donc c’est comme une réunion familiale. Je connais tout le monde, je me sens bien avec tout le monde et j’aime tout le monde. Ce n’est pas comme si nous avions manqué quelque chose.

SFMAG : Parlez nous de votre réalisateur James Gunn ?
CP : Je pense que c’est une chance incroyable de l’avoir eu sur les trois films. C’est sa voix, son écriture, son style, son amour des animaux, son amour pour le bizarre, sa façon de faire une comédie, le drame, le ton. Il a un ton très spécifique. Je suis très reconnaissant qu’il ait été notre maestro pour ces trois films. Donc être de retour avec lui, de repartir là où on s’est arrêté, je pense que tout le monde a évolué et tout le monde a changé. Je pense que l’expérience vous donne la sagesse et la maîtrise, et il sait de mieux en mieux exactement ce qu’il veut, pouvoir être efficace et comprendre comment capturer la magie dans le moment.
Il a un discernement incroyable, il est ouvert à écouter les idées des gens mais il sait si elles sont bonnes ou mauvaises. Il a également la capacité de dire non aux gens sans les heurter ou casser le cœur créatif. Il fait un super boulot et il n’est pas mené par son ego donc si vous lui donnez une idée, il ne vous dira pas qu’il n’aime pas que l’idée ne vient pas de lui. Il est une combinaison extraordinaire de communicant, de collaborateur, de leader pour moi cela en fait un fantastique réalisateur.
ZS : Ça a été très spécial. Tout le monde est toujours venu travailler avec le même niveau d’excitation depuis le premier jour. Nous sommes fiers de nous et nous nous aidons sur le plateau. Nous sommes tous engagés, loyaux et dévoués à la vision de James et à son histoire. C’est un grand capitaine à avoir, il établit un superbe environnement d’amitié, de créativité mais aussi de passion. Il nous rappelle constamment la discipline que nous devons avoir pour ce dont nous croyons vraiment. Il croit vraiment en cette histoire, il croit en ce qu’il crée et en ce qu’il réalise, donc c’est très difficile pour vous de sortir de cette synchronicité quand vous êtes sur une production de James Gunn.
Nous sommes des fans de son travail et il y a quelque chose de vraiment sympa d’aller sur le plateau. Même si vous êtes une partie du projet, vous pouvez faire le « geek ». J’aime chacun de ces acteurs, ce sont des gens formidables, ils travaillent tellement durs et ils sont très dédiés. Ils sont très dévoués à « gardiens de la galaxie », donc d’être avec eux, et même de les soutenir quand ils font d’autres projets c’est vraiment bien.
DB : Bradley Cooper est la voix de Rocket, mais pour moi Sean Gunn a toujours été Rocket. Je ne peux pas expliquer la valeur qu’il y a de l’avoir comme Rocket et de jouer avec lui. Surtout dans le premier film, parce qu’il a apporté certains de mes meilleurs moments, ce qui était pour moi très important en tant qu’acteur en difficulté. J’ai appris à aimer et à respecter tellement Sean à travers les années juste à le regarder faire. Le regarder avec l’amour et le respect en tant que Kraglin à l’écran et devenir l’une des gardiens, c’est une chose émotionnelle pour moi parce que c’est quelque chose de vraiment mérité. Je suis juste très fier de lui, tellement heureux pour lui et tellement honoré de travailler avec lui.

SFMAG : Quand saviez vous que Rocket serait au centre de l’histoire ?
JG : Que Rocket soit au cœur de l’histoire a toujours été mon intention. Quand Marvel m’a approché pour les gardiens, je ne savais pas si je voulais le faire. Je ne voulais pas faire un film dans lequel je ne pouvais pas m’impliquer, dont je ne pouvais pas investir chaque fibre de ma personne. Vous passez beaucoup de temps à faire un film. Et juste le faire pour l’argent ou la carrière ou autre chose n’était pas quelque chose qui m’intéressait. Quand je suis rentré chez moi après mon premier rendez vous chez Marvel, je me suis dit que s’il y avait un vrai raton parlant d’où venait il ? Il me semblait comme la créature la plus triste de l’univers. C’est un petit animal qui a été pris, transformé et banni de toutes les autres formes de vie de la galaxie, il est en colère à cause de cela et par ce qu’il a très peur. Cette solution est le centre des gardiens de la galaxie. C’est drôle parce que les gens pensent que les films sont légers, des films drôles mais tout le fil conducteur est ce centre émotionnel de Rocket et les autres personnages qui sont tous des outsiders qui ne sentent pas vraiment d’appartenance. Éventuellement, les fissures commencent à s’ouvrir entre certains personnages et ils commencent à s’aimer.
CP : Écoutez ils vont vous dire que Rocket est le centre de l’histoire, ça n’est pas le cas. Ce sera toujours l’histoire de Peter Quill, le hors la loi légendaire, n’oubliez pas cela. Mais….non…..c’est l’histoire de Rocket, et c’est l’histoire de Rocket s’acceptant pour qui il est. Il se voit comme une sorte d’abomination, le résultat d’expériences animales atroces qui l’ont laisssé dans ce corps qu’il déteste. Nous découvrons son origine à travers le film. Donc c’est l’histoire de Rocket et son voyage qui lui permet de voir qu’il est OK et d’affronter son créateur, le haut évolutionnaire. C’est vraiment une histoire fantastique du cerveau du génie fou appelé James Gunn.
ZS : L’histoire est centrée sur Rocket. Nous allons voir des twists, mais il y a aussi des choses que nous ignorions et que nous allons voir. Cela va nous donner la chance de voir exactement qui est Rocket et quelle est sa relation avec les gardiens.
DB : Tout à fait, Rocket est le centre de l’histoire. Des deux autres films, il y a beaucoup, beaucoup de questions qui n’ont pas eu de réponses sur Rocket et vous obtenez les réponses dans ce film et vous comprenez pourquoi il est comme il est et pourquoi il protège tant ses sentiments. Il y a toujours un mur, ce qu’il fait toujours avec un certain sarcasme en prétendant qu’il se fiche de tout alors qu’au fond ce n’est pas vrai. Rocket a un très gros cœur et il le cache bien. Pour nous il est de la famille, et nous l’aimons quelque que soit ce qui sort de sa bouche.

SFMAG : Comment est ce de travailler avec Chris Pratt ?
JG : Chris est tellement bon dans le film. Il était bon dans les deux premiers films, mais ce n’est rien comparé au troisième film. Il est tellement cru et vulnérable. Une des choses que j’ai toujours aimé chez Chris Pratt est le fait qu’il soit grand, charmant mais aussi vraiment vulnérable. Cela se voit chez lui assez facilement, et c’est facile pour lui d’être vrai et c’est ce qu’est ce film. C’est un gars qui est éclaté au début du film. Il ne va pas bien. Il a perdu l’amour de sa vie qui existe toujours mais qui ne se souvient pas de lui, et il est vraiment en mauvaise posture au début du film. Puis d’autres choses lui arrivent qui sont encore pires.
DB : Il est dur pour moi de décrire comment c’est que de travailler avec lui parce que nos styles de jeux et nos personnalités sont complément yin and yang. Mais c’est facile parce qu’il a tellement d’énergie, humoristique, sarcastique, et je ne suis pas du tout comme cela. Je suis très monotone, je ne parle pas beaucoup, mais quand je parle c’est très réfléchi. Même si ce n’est pas la chose la plus maligne qui sort, il y a de bonnes intentions. C’est entre Drax et moi. Je ne sais pas s’il y a un autre acteur que j’aime et qui sache retomber sur ses pieds plus que Chris. Je réponds parfaitement à cette haute énergie.
ZS : C’est dur parce que nous avons tellement d’affection en tant que personne. James sait exactement ce qu’il veut et nous lui donnons, mais je sais que nous avons probablement raté quelques prises par ci par là car nous donnons l’impression d’être trop familiers ou nous ne pouvions juste pas être méchant l’un envers l’autre. Mais ce n’est pas grave. Ça a été super. Chris est l’une des personnes les plus gentilles que je connaisse.

SFMAG : Parlons de Zoe Saldana
JG : Zoe est une super actrice. Elle jouait Gamora comme une sorte d’abrutie méchante avant de rencontrer les gardiens et maintenant elle se retrouve un peu dans une position identique. Dans le second film, nous apprenons du passé de Gamora et Nebula, et que Nebula n’était pas vraiment la méchante. Gamora était la méchante dans leur enfance. Maintenant elles sont adultes et Nebula a grandie. Dans un certain sens, dans le troisième film, Nebula est le chef des gardiens de la galaxie car Quill est émotionnellement incapable d’assurer. Nous voyons Nebula et Gamora comme elles sont maintenant et qu’elles ont changé de rôles vis à vis de ce qu’elles étaient dans le premier film. C’est sympa de voir Gamora être le « badass ». Elle n‘arrête pas et c’est fun.
CP : Je pense que l’arc de Zoe est le plus intéressant de tout le MCU. Son arc personnel au cours des trois films est également extraordinaire. Elle est passé d’être mariée dans le premier film à maintenant être la mère de trois enfants et elle a changé. Elle a toujours été fantastique. Mais elle est encore plus présente et plus concentrée que jamais. En tant qu’amie, c’est super de voir où elle en est dans sa vie et ce qu’elle apporte à Gamora. Elle a un arc sérieux dans ce film. Gamora est l’un des personnages les mieux écrit que j’ai jamais vu. Dans ce film elle est sérieuse. J’aime le troisième arc de ce troisième volet. Cela va énormément surprendre les gens de la façon dont nous finissons la trilogie avec deux personnes qui ont été amoureuses avant.
DB : C’est étrange car Zoe semble être une personne totalement différente de la Zoe Saldana que j’ai rencontré sur le premier gardiens, et je crois que ça à avoir avec la situation dans laquelle elle se trouve dans sa vie. Elle est mariée et a trois enfants. Quand je l’ai rencontrée, elle me faisait penser à une star, j’étais admiratif et je le suis toujours. Mais maintenant c’est plus une mère. J’aime qu’elle en soit là dans sa vie, et elle est tellement heureuse que c’est comme si c’est là qu’elle devait être.

SFMAG : Parlons de Dave Bautista
JG : Dave ne dira jamais rien de faux, et c’est super quand vous avez quelqu’un d’aussi ridicule et « over the top » que Drax. C’est une performance majestueuse de Dave, parce que Drax est ridicule, mais nous le croyons. Il est totalement crédible et émotionnellement terre à terre. Nous découvrions ses origines dans ce film, d’une certaine manière. Il a son tour. Il est très important pour chaque personnage d’avoir son arc, et Drax a le sien dans ce film. C’est super à voir, et Dave y amène tellement de vie.
CP : Je ne vois personnellement personne d’autre pouvant jouer Drax. C’est Dave et ça a été Dave du moment où il est arrivé. Lui et moi avons auditionné ensemble. Sa voix, son cœur, sa gentillesse, même s’il est massif, son humour, sa dévotion au métier. Il est fantastique. Il est super drôle et a un grand cœur. Il commande avec son cœur et c’est un défenseur des gens et des idées. Je deviens sentimental en pensant que pendant les dix dernières années nous avons passé tellement de temps ensemble. D’accord il a été maquillé en gris et rouge tout le temps, et quand je le vois sans maquillage, je ne le reconnais presque pas mais nous avons passé beaucoup de temps ensemble. Six films, des press tours, des premières, et rien que de penser que tout ceci va s’arrêter. J’espère vraiment que cela ne va pas dire que nous n’allons pas passer du temps ensemble. Il me manquerait.
ZS : Dave est phénomenal. On parle d’un papillon merveilleux, superbe très fort. Quand je l’ai rencontré, il rentrait dans un monde dans lequel il voulait entrer depuis toute sa vie, et de passer d’un genre de divertissement à un autre. Il était très honnête sur le fait d’être épuisé et pas à sa place, mais il a trouvé son but. Il est nature et super. C’est aussi l’une des personnes les plus gentilles que j’ai rencontré, il parle doucement. Mais il a un niveau de force qui n’a rien à voir avec sa présence physique, même si sa présence physique a beaucoup d’impact. C’est un guerrier tranquille, et c’est une chose qui est vraiment charmante chez lui.

SFMAG : Parlez nous de Karen Gilan

JG : Karen, de tous les gardiens, est celle qui est le moins comme son personnage. Elle n’est rien comme ce stoïque, robotique, parfois un personnage cruel qui petit à petit apprend la moralité. Je lui ai permis d’être un peu plus drôle dans ce film et beaucoup de cet humour a été apporté par Karen. Parce que je n’étais pas aussi dur sur les deux premiers films, et que je me suis mis à jouer un peu, la personnalité de Karen ressort. J’ai toujours pensé à des dialogues amusants sur le plateau, je suis très proche de Chris donc je lui balance des dialogues tout le temps. C’est avec ce film que je me suis aperçu que je pouvais faire la même chose avec Karen, donc je lui balance constamment des choses amusantes à dire et ça marche très bien. Voir Nebula se lacher est drôle à regarder et c’est fun pour Karen car c’est une personne légère, un genre de personnage dur qui s’ouvre maintenant. C’est une très chouette performance, ça été une récompense de voir comment les premiers tests avec le public se sont passés à quel point le public l’apprécie, et à quel point il l’aime depuis toutes ces années.
CP : Karen est incroyable et son personnage est celui qui a le plus grand arc. Karen a passé tellement de jours au maquillage sans jamais se plaindre. Elle est vraiment l’opposé de son personnage. Elle a un accent écossais mais quand elle endosse le rôle, c’et une personne totalement différente. Sa voix change, son look et son esprit. Nebula est mauvaise à la base mais révèle que cet assassin peut en fait revêtir une personne sensible. J’espère qu’elle continuera à jouer le personnage autant qu’elle le veut car il y a beaucoup d’autres histoires à raconter.

SFMAG : Parlez nous de Pom Klementieff
JG : Je l’ai casté au départ car elle pouvait être très Alien et très terre à terre en même temps. Elle était la seule capable de pouvoir faire cela parmi toutes les autres formidables actrices que nous avons testées. C’est le meilleur groupe d’acteur que j’ai jamais testé, mais c’était la seule qui rentrait parfaitement dans le rôle. J’adore sa performance en Mantis. Je savais aussi que l’on pouvait developper son personnage. Voir un personnage qui a été abaissé, probablement pas bien traité et ayant peur de parler, devenir qui elle est maintenant avec la structure familiale que représente les gardiens. Son personnage a changé, et une chose que je n’aime pas sur bien des franchises est que les personnages ne changent pas de films en films, comme nous en tant que personne. Et donc de voir ce qui arrive à Mantis est super, car elle n’était pas considéré comme un vrai gardien après le volume 2. Tout le monde adore Mantis, et cet amour s’est démontré dès les premières projections.
CP : De nous tous, c’est la plus artistique. Elle est délicate, comme une belle fleur, mais elle a un esprit sauvage. Comme un cheval sauvage que vous n’essayeriez même pas de dompter. Elle apporte au personnage un incroyable côté artistique avec ses mouvements très insectes. Pom est la première à se battre pour son personnage et son point de vue. Elle est toujours concentrée sur ce que son personne fait, ce qu’il veut, et ce que son personnage dirait où ne dirait pas. Pas d’une façon prétentieuse mais d’une façon bénéfique. Elle est incroyable.
ZS : Pom a une personnalité tellement fraîche, et elle est excentrique d’une façon très française. Quand elle arrive sur le plateau, elle est douce e dit tout ce qui lui passe par la tête. C’est une personne très spontanée et c’est ce qui rend son jeu si intéressant car c’est frais. La Mantis qu’elle a crée est émouvante. Mantis est juste si gentille et douce. Vous voulez juste la prendre dans vos bras et avoir une peluche comme elle. Et qui de mieux que Pom ? Elle est sensationnelle, elle est géniale et une super addition aux gardiens.
DB : Mantis est mon gardien préféré. Non seulement Pom est une actrice brillante mais ce qu’elle fait avec Mantis est tellement drôle. Elle a une telle innocence mais elle peut aussi être sarcastique. Nous avons plongé avec ça surtout pour le « spécial gardiens ». J’adore travailler avec elle, et j’adore ce qu’elle a fait du personnage.

Merci à Olivier Margerie de The Walt Disney Company de nous avoir fourni ces interviews.

Marc Sessego

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Après la parution de son monumental livre «  123 ans de cinéma fantastique et de SF – essais et données pour une histoire du cinéma fantastique 1895-2019 » paru en janvier 2019, Alain Pelosato a continué à regarder des films et des séries de télévision  ! «  Quand on écrit ce genre d’ouvrage », explique l’auteur, « c’est sans fin puisque des films et des séries, il continue à en sortir sans cesse  ! Il faut donc prendre la décision de s’arrêter pour publier. C’est pourquoi j’écris et publie régulièrement des mises à jour depuis 1998.  »
De plus, certains éditeurs de DVD ressortent des films des archives et les publient, il y a aussi la télévision et les plateformes sur Internet. Du coup, le présent livre couvre la période 1951 à 2023.
Voici donc la dernière mise à jour : un livre de 513 pages grand format (20,32x25,4cm) avec plus de 2120 entrées dans l’index sur 20 pages !, c’est dire s’il contient beaucoup de chroniques, d’analyses et aussi, la spécialité de l’auteur, de vastes mises à jour de listes thématiques de films (taxinomie du cinéma fantastique). Bonne lecture  !





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