Claude Milliken (Claudio Latanzi) & Joe D’Amato
1988
Ne vous fiez pas à la numérotation des films de zombies, elle n’a rien à voir avec une logique quelconque…
Un camion dépose un passager en pleine campagne. Cet homme rejoint une cité perdue à l’abandon. Le réalisateur ne veut pas nous montrer son visage. Il entre dans une maison pleine de cages enfermant des oiseaux, dépose son sac très lourd, ouvre la porte d’une chambre où dort un couple et égorge l’homme. La jeune femme découvre son compagnon égorgé ; elle tente de téléphoner : ça ne marche pas ! L’homme au couteau (désormais sanglant) s’approche d’elle sans se presser. Un couple avec un enfant arrive trop tard : la femme est égorgée. La jeune femme et l’enfant fuient poursuivis par le tueur qui l’égorge et enlève le bébé. (Vous suivez toujours là ?)…
L’assassin libère les oiseaux en cage, essuie le sang et subit les attaques des oiseaux. Il est hospitalisé et le bébé est recueilli. Attention, ne pas oublier ces scènes pour comprendre la fin !
Nous voilà dans un labo d’ornithologie. Un étudiant reçoit une bonne nouvelle : un organisme cherche à sauver des espèces d’oiseaux. Une équipe de jeunes étudiants est réunie.
L’équipe de jeunes se rend dans la maison aux oiseaux (celle du début du film…) ; le directeur monsieur Braun les accueille. Il est aveugle (se rappeler le début du film…).
Pendant leur prospection, les jeunes découvrent une voiture abandonnée qui contient quelque chose d’horrible, mais on ne sait pas quoi ; puis une maison abandonnée qu’ils investissent.
Le massacre commence à la nuit tombée, et même des morts atroces accidentelles. Jusqu’à ce que le soleil se lève, avec une révélation à la fin… Devinez !
Le film a été tourné en Louisiane.
Alain Pelosato
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