2023
Générique incendiaire.
Premières images : un hélicoptère en vol et en feu… puis générique très animé. « Il est à l’intérieur », s’exclame une dame ; « je veux le sentir ».
Puis, en avion, on arrive à Palmera City avec un jeune beau brun qui a passé un examen et a arraché un superbe diplôme. Il porte d’ailleurs le chapeau adéquat.
Mais… sa famille a déposé le bilan du garage et son père est mort d’une crise cardiaque. La famille ne peut plus payer le loyer. Donc il trouve un boulot de nanard dans un hôtel de luxe. Et puis il y a la femme d’affaires qui gère sa boîte. Cette dame n’aime pas sa fille… et notre héros se fait virer par la dame… La fille lui sauve la mise en lui proposant un boulot. Vous pensez que j’ai déjà raconté tout le film ? Ben non, on n’en est qu’à la dix-neuvième minute… Jusqu’à présent, c’est très bavard et très convenu.
Il commence à y avoir de l’action quand une jeune femme vole un pass pour s’introduire dans un labo où se trouve le scarabée bleu qu’elle vole et le concours de circonstances veut que le jeune homme est involontairement impliqué. En effet, la voleuse lui confie le scara-bée en s’enfuyant.
Puis, le jeune homme met le scarabée en marche et se fait posséder par lui. Il devient scarabée bleu lui-même !...
Une histoire assez bien tournée, malgré le recuit dans le domaine humoristique, par exemple quand d’anciens révolutionnaires donnent un coup de main.
La fin est un peu con…
Un film à voir !
Alain Pelosato
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