Janvier 2007.

Antépénultième épisode des Ultimates, et le souffle ne retombe pas une seconde. Baston à l’échelle planétaire, retour d’un héros, et retournements de situation, on dévore la moindre page, le moindre détail. C’est bon, et on en voudrait plus !

Le scénario d’Extinction fait ainsi, une fois encore, pâle figure, tant le rythme et la menace, malgré sa démesure, peinent à surprendre. Les dessins de Peterson sont toujours bons, malgré cette multitude de traits ridicules et inutiles (ça ne marque même plus les ombres, tant il y en a) mais Ellis ne se foule vraiment pas. Enfin, ça sent la fin - qui à priori va être réglée au plus vite, étant donné qu’il ne reste qu’un épisode - et c’est une bonne chose, parce que la version Ultimate de Galactus n’a vraiment rien de terrible...

Grégory Covin