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"Kenichi ( le disciple ultime) 11 " de Shun Matsuena
– Règles de baston selon le code Sasaki ! Chapitre deux : "Le tourbillon du dragon", paragraphe 3, alinéa 551 ! "Toujours démolir les combattants les plus forts !" :
L’entraînement du jeune Kenichi avec ses différents maîtres en arts martiaux progresse doucement alors que se profile l’affrontement avec les membres du Ragnarök.
Mais des évènements extérieurs vont perturber la sérénité toute relative de Kenichi.
Tout d’abord un élève de son lycée longtemps brimé est passé du côté obscur suite à un entraînement dans un dojo réputé pour sa violence. Bref il va falloir aller le chercher. Mais qui va se dévouer ? Et donc qui va affronter tout le dojo élèves comme enseignant ? Hum Kenichi, je crois que l’on pense à toi.
Puis survient le retour de Renka Ba, la fille de maître Ba. Mais surprise elle n’est pas venue pour ramener de force son paternel en Chine. Bien au contraire elle a décidé de s’installer dans le dojo avec lui et de ce fait à proximité de Kenichi. Bien entendu la présence de Kenichi n’est évidemment pour rien dans cette décision. Mais la présence de la jeune Miu perturbe quelque peu l’atmosphère sereine du dojo. Miu n’est absolument pas jalouse, bien entendu. Mais pourquoi manifeste t’elle soudainement de l’agressivité envers Kenichi ?
Et pendant ce temps Kenichi s’efforce de discerner la philosophie des arts martiaux. Ainsi à partir de quel moment l’auto-défense devient-elle de la violence ? Il faudrait poser la question à ses maîtres. Mais pourquoi ces derniers éclatent-ils de rire ? Enfin pas tous. N’oublions pas la dénommée Shiguré pratiquant un art martial qui n’est jamais mentionné et qui pour l’instant est suspendue au plafond (sans doute en train d’affûter ses shurikens). Elle ne rit pas. D’ailleurs elle ne rit, ni ne sourit jamais. Aurait elle acquis la sérénité ?
Damien Dhondt
Shun Matsuena _ Kenichi le disciple ultime tome 11 _ Traduction : PierreGiger, Lettrage : GB One _ Edition Kurokawa ( septembre 2009) _ Inédit, poche, sens de lecture japonais, 208 pages noir & blanc _ 6,50 euros
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