"Saint Seiya The Lost Canvas tome 11 " de Masami Kurumada et Shiori Teshirogi
Au XVIIIème siècle, El Cid, le Chevalier d’Or du Capricorne, et Tenma, chevalier de Pégaze, s’unissent pour vaincre Oneiros, le Dieu des Rêves. El Cid perd la vie en détruisant le champ de sommeil du Dieu.
Pendant ce temps, Hadès continue à peindre son Lost Canvas, une peinture céleste qui doit tuer tous les êtres vivants et permettre le règne des ténèbres. Sur Terre, le Grand Pope étant décédé, Hakurei, son frère jumeau endosse son rôle et conduit les chevaliers d’Athéna pour la bataille ultime.( la Guerre Sainte). Il se rend au centre du palais d’Hadès, pour y planter l’épée d’Athéna qui permettra d’annihiler le dernier champ de force protégeant les lieux. Mais devant lui se dresse Hypnos, le Dieu du Sommeil.
Ce tome épique et sombre voit l’éveil total d’Hadès, de même que le lancement de la guerre à proprement parler. Ceci permet un réel plaisir des yeux, comme au cinéma, avec une foison de personnages en armure et de combats. La magaka se démarque de son prédécesseur et semble vraiment s’approprier l’histoire tout en gardant certains traits caractéristiques à cet univers, pour le plus grand plaisir du lecteur. Seul bémol gâchant un peu la lecture : les onomatopées énormes qui cachent les cases. Mais le bilan est positif.
Virginie Liégeon
Saint Seiya The Lost Canvas tomme 11 de Masami Kurumada et Shiori Teshirogi - Editions Kurokawa - avril 2010 - Inédit, poche, sens de lecture japonais, 208 pages noir et blanc - 6,50 euros