Quatrième de couverture :
Bienvenue dans le mouroir oublié où finissent toutes les lettres qui n’ont pas trouvé leur destinataire – et il y en a des milliers.
Randolff Jaffe est chargé de les trier, d’y récupérer ce qu’il peut, et de mettre le reste au feu. Tout bascule le jour où il en lit vraiment une. Puis deux. Puis qu’il commence à discerner certaines ressemblances troublantes. Lettres de fous, d’illuminés, messages codés… Toutes parlent de la même chose. Et si elles faisaient office d’avertissements, un sinistre présage que seul Jaffe serait capable de comprendre… ?
« Le talent de Clive Barket me laisse sans voix. Il donne l’impression que le reste d’entre nous n’a fait que dormir ces deux dernières années. » Stephen King
« Qualifier Clive Barker d’“écrivain d’horreur” reviendrait à qualifier les Beatles de groupe de musique de garage… Il est le grand conteur de notre époque. Il connaît non seulement nos plus grandes peurs, mais aussi ce qui nous ravit, nous excite, et ce qu’il y a de vraiment sacré en ce monde. Sa prose est tout à tour bizarre, obsédante et superbe. » Quentin Tarentino
Clive Barker est né en 1952 à Liverpool. C’est l’un des plus grands artistes du domaine du fantastique. Écrivain, réalisateur et plasticien, son talent s’est exprimé à travers les livres, films, comics, tableaux et jouets fondés sur ses créations. Ses Livres de sang et sa novella Hellraiser, qui a inspiré la série de films du même nom, sont devenus l’objet d’un véritable culte et ont acquis une place majeure dans la culture populaire.
Traduit de l’anglais (Grande Bretagne) par Jean-Daniel Brèque. Illustration de couverture Bastien Lecouffe Deharme.
Note de sfmag :
Ce livre est copyright Clive Barker en 1989.
Il a été publié chez Albin Michel en 1991 et chez Pocket Terreur en 1993.
Ces deux dernières informations ne sont pas données dans le livre de Bragelonne
La petite chronique de Tarentino ne casse aps des barres. Son histoire de garage montre son impuissance à exprimer l’admiration qu’il a pour Clive Barker. Dommage. Je n’en dirais pas de même de celle de Stephen King qui sait faire preuve d’humilité.
Alain Pelosato