Communiqué de l’éditeur :
Un duel redoutable entre l’homme et la machine.
Sous l’emprise d’une entité inconnue, un bulldozer devient incontrôlable et machine de terreur semant la panique sur le chantier d’une piste d’aéroport.
Roman d’action et d’angoisse, Killdozer est aussi un texte symbolique et prémonitoire qui prend aux tripes. L’auteur y traite de l’absurde folie machinique et destructrice qui s’est emparée de l’humanité depuis le début du XXe siècle.
Theodore Sturgeon (1918-1985) est l’un des plus grands écrivains américains de l’étrange. Son oeuvre, intimiste et romantique, traite de la compassion et de l’analyse des sentiments humains. Moraliste et grand portraitiste de marginaux transfigurés, il est l’auteur de l’inoubliable Cristal qui songe.
Chronique d’Hervé Lagoguey dans SF Mag 110
Killdozer, de Theodore Sturgeon (Killdozer, 1944), traduit de l’anglais par Georege H. Gallet, Mnémos, collection « Hélios », octobre 2020, 116 pages moyen format, 6,90 euros.