Communiqué de l’éditeur :
En 1348, totalement ravagée par la peste, l’Europe a été conquise par l’Empire ottoman qui y règne en maître absolu. La Renaissance et les Grandes Découvertes n’ont pas eu lieu. Et les Aztèques dominent le Nouveau Monde.
Dans les années 1960, Dan Beauchamps, jeune Anglais fougueux en quête de gloire et de reconnaissance, quitte l’Angleterre pour les Hespérides. Il s’embarque alors pour une extraordinaire aventure autour d’une planète devenue le miroir inversé de l’ordre mondial actuel.
Robert Silverberg, l’un des maîtres contemporains de la science-fiction, s’empare avec délectation des pouvoirs de l’uchronie, et nous propose un véritable bolide littéraire à dévorer d’une traite, haletant et riche en action.
Chronique d’Hervé Lagoguey dans SF Mag 110
La Porte des mondes, de Robert Silverberg (The Gate of Worlds, 1967), traduit de l’anglais par Annie Saumont, Mnémos, collection « Hélios », septembre 2020, 260 pages moyen format, 8,90 euros.